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L'Auteure... 

Ce qui m'importe

Je suis une auteure indépendante et m'auto-publier fut un choix, non un pis-aller!

 

J'aime jouer avec la beauté et la poésie de notre langue québécoise.

Quand j'écris, je porte attention à la musique des mots, au rythme des phrases, afin qu'à la lecture on entende cette mélodie.

 

D'après les commentaires, il semble que ce soit recherché et apprécié.

J'écris d'abord pour comprendre le monde et ses humainsun puits sans fond de sujets à creuser.

Me questionner, m'étonner, apprendre et partager seront toujours les motivations derrière l'écriture de mes prochains romans.

Écrire Le silence des tam-tams  fut pour moi une passionnante expérience et un réel bonheur.

Je souhaite que le lire le soit autant.

Ce roman n'est absolument pas une autofiction, même s'il fait suite à des années de recherches  pour comprendre mon propre vécu traumatique et en guérir.

photo de l'auteure

Comment survivre à un événement traumatisant, rebondir, se reconstruire, être pleinement heureux à nouveau? Voilà une question incontournable, aujourd'hui. Ne sommes-nous pas de plus en plus exposés aux traumas de toutes sortes (accidents, catastrophes, pandémies, guerres, violences, etc.)?

En l'écrivant, j'ai souhaité partager mes constats et découvertes reliés à mes recherches sur le trauma. Mettre en scène des concepts habituellement traités dans des essais fut un réel défi. Au fil de l'écriture les personnages ont évolué, leurs destins se sont entrelacés, j'avais là différentes expériences de traumas à développer. J'ai souhaité que ces vécus résonnent en chacun, qu'on soit victime ou non. 

Et ce n'est jamais fini. Une fois son livre publié, on en parle en 10, 30 ou 60 secondes ou plus, on prépare dossier de presse, brochure, signet, vidéo, balado, site internet. On le creuse, découvre la richesse du sous-texte, les enjeux qu'il sous-tend et le désir de partager grandit.

La femme derrière l'auteure...

Je viens d'un pays d'hiver et de liberté.

J'ai eu la chance de naître au Québec, en temps de paix,

dans ce fascinant pays où les femmes sont libres et les révolutions plutôt tranquilles.

Ce droit d'être femme et libre ne se quémande pas.

Il émerge du fond de l'être, se prend à bras-le-corps et se manifeste.

Photo de Marie Vallières

On reconnaît chez moi...

 - une intensité,

 - une pensée libre,

 - une curiosité intarissable et créatrice.

Introvertieje privilégie les amitiés

qu'on tisse une à une, 

peu nombreuses, 

mais si précieuses... 

Ce que j'aime...

appréhender la vie et le monde sous  plein d'angles différents,

surtout que les défis de notre temps sont nombreux.

Toute ma vie, j'ai  adoré voyager,

des fois seule, d'autres, accompagnée:

un peu partout dans le vaste monde,

de l'Amérique, à l'Europe, à l'Afrique, à l'Asie,

à la découverte de l'autre et de ses surprises.

Je voyage encore, mais plus souvent à la découverte de l'humain

et de ses paysages intérieurs...

globe terrestre

Mon mantra...

Bien faire... et laisser braire!

Dans ce monde de vérités alternatives,

de censure

et d'injonction à marcher droit,

rester libre de coeur, de tête et d'âme

et chercher mon propre chemin.

J'estime important...

de rester humble et émerveillée devant la vie et ses secrets,

de s'ouvrir le coeur et l'esprit, même  à ce qu'on ne peut démontrer scientifiquement,

car la part de vérité que la science ne peut expliquer se révèle quand même à nous et cela, dans l'expérience vécue.

En bref...

Je suis une épouse, une mère et une grand-mère comblée.

Depuis toujours, je marche ma vie sur des sentiers à défricher.

 

Et pour le temps qui reste,

je veux encore aimer, bousculer les tabous, transmettre ma passion pour la vie.

Un bagage d'expériences plurielles

article de travail

Mon parcours professionel, tout aussi éclectique, fut loin de la littérature.

 

J'ai enseigné différentes matières au secondaire. 

Cadre en entreprise privée, analyste en TI et directrice de formation, la gestion de projet, l'analyse des données et la réingénierie des processus n'ont aucun secret pour moi.

Au-delà de tout ce que j'ai appris sur les bancs des grandes institutions d'enseignement,

j'ai maintenant un PHD de l'École de la Vie...  privilège de la vieillesse!​

Pour ma génération, je suis privilégiée d'avoir eu accès aux études supérieures:

En effet, j'ai poursuivi mes études classiques dans un séminaire de garçons. Une première au Québec bien avant que les CEGEP n'existent. À cette époque, combien de filles travaillaient après leurs études secondaires, permettant ainsi à leurs frères de poursuivre leurs études !

Après mon Bac ès Arts, un parcours universitaire plutôt éclectique:

Sciences sociales,

Médecine,

Informatique de gestion.

Puis, bien plus tard,

un programme de deuxième cycle en "Sens et projet de vie".

J'ai "bénévolé"

auprès des jeunes, des femmes et des réfugiés. 

Des expériences marquantes sur le sentier de ma vie.

Accueil d'une famille réfugiée

Accueillir une famille de 4 personnes réfugiées d'une guerre en Afrique, vivre à 10 dans la maison et tout partager, fut une expérience signifiante non seulement pour nous adultes, mais aussi pour chacun de nos enfants.

Femmes d'ici et d'ailleurs pour une société meilleure

Un projet collectif ayant touché plus de 500 femmes dans les Laurentides.

Un tremplin permettant à chaque femme de se réapproprier son pouvoir et prendre sa place dans son milieu.

Un moment fort dans ma vie de nouvelle retraitée d'un milieu de travail 100% mâle et qui me fit découvrir et goûter la puissance de la sororité.

Le guidisme

12 années à cette école de la vie, dont plusieurs comme responsable de la région des Laurentides. 

Co-éducation à l'école alternative de mes enfants

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